Mon corps

Notre présence au réel dépend de nos cinq sens

Chaque individu est unique

La génétique nous le confirme en décrivant un génome humain commun et un ADN personnel unique.

Notre réalité se construit au travers de nos cinq sens

Notre réalité perceptuelle corporelle et environnementale se construit au travers de nos cinq sens ; nous pouvons quasiment dire que ce sont nos cellules qui vibrent et sentent. Nos capteurs sensoriels sont étalonnés par nos conditionnements si bien que nous “reconnaissons” notre corps à l’instant même où nous le percevons. Nous faisons la différence entre notre corps et celui de l’autre, entre sa main et notre main, entre l’intérieur et l’extérieur.

Faire l’expérience de l’incarnation

Notre corps est défini par sa densité, par l’espace qu’il occupe et par ses dimensions. Animé du souffle de la vie, il est naturellement au service de notre volonté pour faire l’expérience de l’incarnation.

Nos “corps subtils”

Il coexiste avec un ensemble de “corps subtils”, expressions de nos sentiments, de nos pensées, de notre créativité ; à travers lui se déploie notre énergie. Notre corps est comme un “scaphandre autonome”, sans lui nous ne pourrions faire l’expérience de la vie « incarnée ». Nous sommes conditionnés par notre culture et nos systèmes de croyances. Nos habitudes de perception rendent immédiate notre identification à notre corps.

Des perceptions plus fines ouvrent à une expérience plus fluide et plus vaste

Notre façon de le percevoir crée sa forme en permanence. Une perception limitée génère des sensations limitées. A l’inverse, des perceptions plus fines ouvrent à une expérience plus fluide et plus vaste.

L’éveil des sens constitue une clé d’accès aux potentiels de notre corps

Ce travail de transformation par l’écologie intérieure passe par le corps, mais aussi, par le cœur. Sans oublier une parole vraie, en lien direct avec le réveil des sens dans le corps tout entier, générant un meilleur “dialogue” entre les deux hémisphères cérébraux et vice versa.

Lourd et large en bas, vous n’êtes pas comme un pieu qu’on enfonce en terre mais plutôt comme un roseau qui se balance au gré du vent et revient toujours à la verticale.

K.G. Durckheim Centre de l’être

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